My funeral
vendredi 10 novembre 2006 à 14:12 :: Chronicle :: #251 :: rss
Attending a good friend's funeral remembered me my own always virtual last will.
Easy to say if you're dead what will it matter to ask you questions like "In what place would I like to assemble my friends and family?" or "what music would i like to listen to after my death?" or "What would I like to exclude absolutely from my funeral?" .... and more of these?
In fact it is the way I would like to be remembered, my so called posterity.
The first time I would have had written my last will in this sense was when another good friend had been killed in an car accident a long time ago and when I had been the powerless spectator of an horrible choreography of narrow-minded parents that fetched back all they can inclusive of her dead daughter who had broken with them since many years.
Without respecting anyone who lived with her the last ten years.
I never wrote this last will and perhaps won't write it anyway.
Memory won't be my exercise but that of who will follow.
Easy to say if you're dead what will it matter to ask you questions like "In what place would I like to assemble my friends and family?" or "what music would i like to listen to after my death?" or "What would I like to exclude absolutely from my funeral?" .... and more of these?
In fact it is the way I would like to be remembered, my so called posterity.
The first time I would have had written my last will in this sense was when another good friend had been killed in an car accident a long time ago and when I had been the powerless spectator of an horrible choreography of narrow-minded parents that fetched back all they can inclusive of her dead daughter who had broken with them since many years.
Without respecting anyone who lived with her the last ten years.
I never wrote this last will and perhaps won't write it anyway.
Memory won't be my exercise but that of who will follow.
En assistant aux funerailles d'une amie chère j'ai encore été renvoyé à mes propres et virtuels derniers voeux.
C'est facile de dire : qu'est-ce que tout cela peut faire quand tu seras mort ? Ou encore se poser de questions du genre : "Dans quel lieu vourdais-tu que tes proches se rassemblent pour se recueillir ?" ou "Quelle musique voudrais-tu entendre le jour de tes funerailles ?" Que voudrais-je exclure à tout prix de cette cérémonie ?" et ainsi de suite.
C'est en fait la question de savoir de quelle façon on va se souvenir de moi, la soi-disante postérité.
La prmière fois que j'ai voulu écrie un testament c'était justement à l'occasion de la mort accidentelle et brutale d'une très bonne amie, il y longtemps déjà. A l'époque j'assistais impuisamment au spectacle que ses parents depuis longtemps oubliés tirait de cette triste histoire : la récupération totale de sa vie après-coup (ils ne pouvaient pas se sentir depuis des années) et la tentatve pour effacer complètement sa vie actuelle.
Enfin je n'ai jamais écrit ce testament et je ne l'écrirai probablement jamais.
Le fait de ne pas l'avoir écrit est peut-être en dehors d'une certaine fainéantise le signe d'une capitulation : la mémoire n'est pas mon affaire mais celle des suivants.
C'est facile de dire : qu'est-ce que tout cela peut faire quand tu seras mort ? Ou encore se poser de questions du genre : "Dans quel lieu vourdais-tu que tes proches se rassemblent pour se recueillir ?" ou "Quelle musique voudrais-tu entendre le jour de tes funerailles ?" Que voudrais-je exclure à tout prix de cette cérémonie ?" et ainsi de suite.
C'est en fait la question de savoir de quelle façon on va se souvenir de moi, la soi-disante postérité.
La prmière fois que j'ai voulu écrie un testament c'était justement à l'occasion de la mort accidentelle et brutale d'une très bonne amie, il y longtemps déjà. A l'époque j'assistais impuisamment au spectacle que ses parents depuis longtemps oubliés tirait de cette triste histoire : la récupération totale de sa vie après-coup (ils ne pouvaient pas se sentir depuis des années) et la tentatve pour effacer complètement sa vie actuelle.
Enfin je n'ai jamais écrit ce testament et je ne l'écrirai probablement jamais.
Le fait de ne pas l'avoir écrit est peut-être en dehors d'une certaine fainéantise le signe d'une capitulation : la mémoire n'est pas mon affaire mais celle des suivants.
Commentaires
1. Le samedi 18 novembre 2006 à 23:17, par Niko :: site
2. Le dimanche 19 novembre 2006 à 13:28, par myself :: site
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